Les performances des applications métiers en retrait du point de vue des utilisateurs

4 janvier 2016
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Une nouvelle étude prenant en compte les réponses de 900 entreprises américaines avec un chiffre d’affaires de plus de 500 millions de dollars, nous montre qu’il existe un fossé entre les besoins des applications d’entreprise et la capacité des services informatiques a délivré des performances optimales.

 

Des applications métiers essentielles au bon fonctionnement de l’entreprise

D’après cette étude commandée par Riverbed Technology et réalisée par Wakefield Research, 98% des cadres supérieurs s’accordent à dire que les performances des applications sont un des éléments essentiels du fonctionnement de l’entreprise. De plus, 89% des personnes interrogées disent que des mauvaises performances ont négativement impacté leur travail et 58% disent que cela impacte leur travail chaque semaine.

On apprend également que les inconvénients d’une mauvaise performance des applications entraînent : des clients insatisfaits, des retards dans les contrats, des délais non respectés ou encore la perte de clients…

 

Un système d’information hybride, la cause des problèmes

Une cause de cette perte de performance est l’arrivée des systèmes d’information hybrides mélangeant infrastructures locales et infrastructures hébergées dans un cloud externalisé.

En effet, la popularisation du Cloud fait qu’une majorité d’entreprise utilise au moins une application dans le Cloud. Les systèmes d’information deviennent alors plus compliqués à gérer et le maintien des performances plus difficiles.

Globalement, 71% des répondants disent se sentir “dans le noir” à propos des applications lentes au sein de leurs entreprises, mettant en avant le manque de lien entre les services informatiques et les cadres dirigeants.

Ce chiffre est important car 37% des personnes interrogées avouent utiliser lors d’une panne ou d’un ralentissement, une application externe non approuvée par l’entreprise. Les mauvaises performances des applications internes entraînent donc la propagation du « shadow IT ». Ce phénomène rajoute des risques de confidentialité des données et engendre d’avantages de problèmes au niveau du système d’information de l’entreprise.

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